Mohamed Chorfi impute le faible taux de participation à l’étranger à la « crise sanitaire »
Le faible taux de participation de la communauté algérienne établie à l’étranger (- de 5%) est à mettre sur le compte de la crise sanitaire et à l’incertitude du déplacement vers les bureaux de vote aménagés au niveau des consulats algériens.
C’est pourquoi, selon Chorfi, la communauté algérienne, qui nous a habitués à un taux beaucoup plus important, « n’a pas trouvé les conditions idoines pour accomplir leur devoir électoral ».
F.Z